Les plus beaux singles du Queyras avec les mélèzes en feu.

le 5 décembre 2017 , par Christian BALLINI , 857 vues

Après le traditionnel séjour de mai dans le Diois pour ouvrir la saison, les sorties à la journée autour de Grenoble et le raid de l’été, cette année le long du Verdon, il nous fallait clôturer la saison en beauté. C’est chose faite.

Vous me direz, qu’il y a autant de paradis du VTT que de pratiquants, mais ceux qui ont parcouru Furfande et longé les lacs Foréant et Egourgéou garderont à jamais ces descentes dans leur cœur et y reviendront sans doute.

Troisième semaine d’octobre, à peine dix jours avant la neige, nous fûmes exposé à la bise glaciale, puis à la douceur en tee-shirt à manches courtes à 2300m d’altitude, toujours au soleil et le plus souvent seuls au monde.

Les points d’orgues du séjour : la Casse Déserte et ses paysages dantesques, les balcons panoramique de Péas par l’ancien canal jusqu’au col de la Crèche, les 40 lacets plongeant sur Aiguille, le bleu profond du lac du Grand Laus, le Viso majestueux et la plaine du Pô sous les brumes, le lac gelé de la Blanche d’un beau vert émeraude, avant l’apothéose, l’ascension et la descente sur le vélo d’un « plus de 3000m » le Pic de Caramantran avec un panorama à 360°.

Sans parler de tous ces petits chemins de terre étroits et sinueux recouverts d’un tapis d’aiguilles de mélèzes couleur feu, que l’on remonte en rêvant ou dévale bien vivant, mais toujours le sourire aux lèvres. »

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